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Les policiers comportent vite qu’ils viennent de mettre la main sur un réseau de proxénétisme qui commençait tout juste à s’organiser. Le dossier est directement transmis au SRPJ de Montpellier qui procède à deux autres arrestations : celle d’une jeune femme de 26 ans, qui servait d’appât pour les gens malades, et celle d’un troisième homme qui jouait lui le rôle de conducteur. Le chef de la bande repérait sur Internet des annonces de jeunes femmes qui proposaient leurs atouts. Les deux victimes avaient donc accepté de résulter à Montpellier, avec pour un compromis de devenir escort girls et d’arrondir ainsi leurs  de mois. L’une, âgée de 21 ans, venait de région parisienne. L’autre, âgée de seize ans seulement, de la région bordelaise. En arrivant à Montpellier, les deux jeunes femmes se sont donc retrouvées parquées dans deux suites d’un hôtel de standing de la ville, et violées. Les deux agresseurs ont été mis en examen pour proxénétisme aggravé et viol, et ensuite incarcérés. La jeune femme qui servait de complice a été mise en examen pour proxénétisme aggravé et placée sous contrôle judiciaire. Le ' conducteur ' a pour sa part été placé sous le régime de témoin assisté et laissé lui aussi en liberté.

« Virée » ? Vous m’avez dit « Virée » ? …… Quel soulagement, j’ai eu peur qu’ils me gardent ! J’avais pourtant tout fait : des pauses à rallonge, des boulots pas finis, des rébellions insultantes, des retards à répétition. Rien n’y faisait, ils me gardaient. Je devais sans doute être un talent le peu de temps que je travaillais, qui sait…Et là, j’ai sorti ma dernière arme : j’ai demandé une hausse de salaire. Il ne faut jamais toucher au compte en banque d’une société, jamais jamais. Explosion de plaisir pour ma part, surprise et chagrin pour la leur. Quel bon moment, un excellent souvenir. Je les ai remerciés de m’offrir la possibilité d’une vie meilleure : outre la glandouille à outrance, je pouvais songer à un avenir exceptionnel et fantaisiste à souhait… Ou alors, escort girl ! Avec toutes les diffusions que l’on voit, comme Zone Interdite ou Confessions Intimes, c’est un travail de rêve ! On ne couche pas ( oui, oui, c’est ce qu’elles osent dire ), on s’achète que des vêtements de luxe ( on se la joue un peu Pretty Woman quoi, en moins pretty et en plus pouffe ) et on devient riche riche riche ! Le rêve !

Une reporter parisienne, Soisic Belin s’est mise dans  d’une escort girl pendant une année dans le cadre d’une enquête journalistique. La trentenaire a proposé un livre pour raconter son année d’immersion. Depuis, elle est victime de cyberharcèlement. Soisic est une reporter autonome, originaire de la capitale, âgée d’une trentaine d’années. Dans le cadre de son travail, elle a enquêté sur le monde des travailleurs du porno, en s’y impliquant complètement.  un an, elle troque son statut de journaliste pour celui de prostituée. Dans un donne proposé en sept. 2021, elle dit ce qu’elle a vu, entendu, mais surtout vécu. Deux cents clients et 35 000 € après, Soisic s’extirpe du centre de la prostitution pour laisser son donne choc. Journaliste, prostituée puis auteure, elle est la cible de violentes insultes. Pourtant, Soisic le répète : son propos ' n’est pas de faire l’apologie de la prostitution ', rapporte Le Parisien.

Le 25 sept., deux suspects sont interpellés, chacun d’un côté de la frontière. Les deux hommes sont âgés de 18 et 39 ans et auraient avoué en partie des faits lors de leur garde à vue, avant d’être mis en examen et écroués. Cependant, les explications avancées sur la mort de la jeune femme pourraient être peu convaincantes : ils auraient « gazé » la victime pour lui dérober de l’argent et elle aurait succombé à un malaise. Les deux suspects ont pu être identifiés grâce à une étude conjoint des autorités suisses et françaises sur la vidéosurveillance. D’après  proche du dossier en Suisse, « aucun des deux hommes n’était client ». Décrite comme très simple par le voisinage, la victime travaillait avec une clientèle au standing élevé, en décalage avec son modeste studio au 4e étage. L’enquête est menée conjointement par la police genevoise et le parquet d’Annecy.

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