cliquez ici : Un régime plaisir
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Le moment où vous mangez est decisif pour la perte de poids. Se priver tout au long de la journée et prendre un gros diner au souper va à l’encontre du but recherché. Même s’il s’agit d’un déjeuner de qualité supérieur nutritionnelle, s’il est mangé trop tard, l'instance n’aura pas le temps de transformer les calories en énergie à utiliser pendant la journée. Les calories seront stockées par le corps ( les cellules adipeuses ) et seront moins facilement dépensées. il est important de consommer moins de calories et dépenser plus d’énergie pour maintenir une perte de poids que pour en perdre. Donc, si vous vous laissez aller après avoir commencé à perdre du poids, vous allez reprendre tous les kg perdus et mais encore ! La bonne nouvelle, c’est qu’en commençant à perdre du poids, vous allez trouver plus simple de continuer à passer du temps sur le tapis roulant ou à faire des exercices.
Deux neurobiologistes, l’Américaine Sandra Aamodt et le Français Michel Desmurget, se sont ainsi demandé pourquoi, à l’issue d’une diète, nous reprenions quasi à coup sûr nos kilogrammes perdus. Tous les deux savent de quoi ils parlent. Sandra Aamodt a suivi son premier régime à l’âge de 14 ans. Michel Desmurget a, lui, essayé plusieurs diètes hyperprotéinées. Sans succès. Tous deux ont perdu beaucoup de kilogrammes, qu’ils ont repris à chaque fois. Ils ont discerné la frustration, la honte dans certains cas, de ne pas y être arrivés. Alors, comme deux boxeurs vaincus qui, de guerre lasse, décident finalement de se poser pour étudier précisément la technique de leur adversaire, ils se sont mis à éplucher les études coureurs. Objectif : comprendre ce qui se passait en eux. Leurs conclusions sont sensationnelles : nous avons chacun une fourchette de poids programmée que notre cerveau va s’efforcer de retrouver si nous perdons trop de kilos. Pour lui, il n’y a pas de surpoids, juste un poids ne change pas à défendre. Par tous les moyens.
L’énergie dépensée en une journée est constituée du métabolisme de base ( rendement du cerveau, digestion... ) et de votre activité physique ( lecture, jardinage, sport, etc. ). Pour perdre du poids, il faut donc théoriquement accélérer ses dépenses énergétiques en faisant plus de sport par exemple. cependant, cette simple addition ne fonctionne pas dans la vie réelle et sur la durée. Selon une étude publiée dans la revue Current Biology, le corps réduit automatiquement son métabolisme de base quand l’on augmente son métier physique, ce qui veut dire que la somme des deux ( activité métabolisme de base ) n’est pas égale aux montants dépensés réelle complète. Imaginons que vous courez tous les jours sur un tapis qui vous conseille que vous avez brûlé 300 calories. Vous pensez donc avoir augmenté votre dépense énergétique de 330 kcal, de quoi dépenser un pain au chocolat. Mais, si ce calcul fonctionne presque lors des premiers jours, il devient de moins en moins vrai au cours le timing, le corps compensant cette dépense énergétique accrue en réduisant la dépense aux autres postes ( thermogenèse, métabolisme... ).
Consommer moins de kcal pour avoir une balance énergétique négative, tout en préservant une activité physique. pendant une période de sèche, il faut compter une perte de 1 à 2kg chaque mois, au delà, il y a un fort risque de reprise de poids quand la période de sèche se terminera. Une période de sèche est évidemment associée à une alimentation équilibrée ou l’apport calorique journalier sera baissé d’environ 20%. Il ne faut pas descendre trop bas en calorie, car cela entraînerait une fonte musculaire. Il est préférable de ne supprimer aucune famille d’aliments. En effet, privé de certains substances fondamentaux, l’organisme ne peut être efficace avec certitude, ce qui entraîne une fatigue importante, qui se ressentira lors des entraînements. Le temps de sèche dépend de l’objectif de départ. Tant que le taux industrielle grasse n’est pas satisfaisant, la période continue. Il est préférable qu’elle dure dans le temps afin d'être sur une efficacité sur une longue période. Une sèche trop rapide entrainerait probablement une perte de la masse musculaire. Ce qui ne remplirait pas l’objectif de reuissir à garder le maximum de en ôtant le maximum de graisse.
On croque à jolies une denture dans un piment et voilà qu’une série de pratiques s’enclenchent : la région buccale s’enflamme et une impression de chaleur soutenu envahit tout le corps. Le corps, en alerte, apparait accélérer sa dépense énergétique afin de lutter contre l’« agresseur ». Mais qu’en est-il relativement ? Brûle-t-on effectivement plus de calories en mangeant du piment ? Et si oui, cette dépense énergétique est-elle assez marquée pour favoriser la élimination des graisses ? Quelques équipes de recherche ont tenté de répondre à ces questions. À l'image des autres crudités, le piment englobe différents antioxydants, dont la lutéoline, la quercitine et la capsaïcine. Les deux premiers auraient, selon quelques études, des effets protecteurs contre certaines maladies chroniques. Pour sa part, la capsaïcine et ses dérivés seraient non seulement au départ de la sensation de piquant caractéristique du piment, mais aussi possiblement d’un effet boostant sur la dépense énergétique. Les parties les plus concentrées en capsaïcine sont, en ordre d’importance, les contours claires, les pépins et la chair. Ni la cuisson, ni le séchage ou la congélation ne viennent à bout de la casser. Les sceptiques n’ont qu’à apprécier : la d'effets de brûlure est un reflet sans équivoque de sa présence !
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